On a d’ailleurs déjà vu la  fleur femelle du noisetier dès le  vingt  janvier. J'ai continué  à étêter à deux mètres  de haut et à élaguer les haies de cornouiller pour faire entrer plus de lumière dans ces zones et  pour  y faire cette fameuse agroforesterie, tiré encore des lianes de clématite. J'ai aussi commencé à élaguer le buddléia (il a plein de bois mort),  dégagé les pruniers -que nous avons plantés en décembre- des branches qui allaient les gêner, dégagé un peu le chêne qui est  cependant mal placé  à moins de deux mètres d'une maison et d'un mur, encore taillé un peu le pommier et étêté un peu pour que la sève circule un peu plus vers le bas et génère plus de fruits, redressé le lilas que nous avons planté sur le remblé et qui prenait de la gîte ; il se porte très bien. Un travail à faire cette saison, c'est l’entretien du mur, au fond de la première parcelle : le revêtement est parti, l'eau va s'infiltrer et dégrader ce qui reste. Alors, il nous faut des compétences en mur et plâtre.

Si vous avez la patience de tourner autour du Triskell , vous trouverez  vers le fond une primevère en fleurs annonçant le printemps.......

Péter Z en solitaire, samedi 8 février au Jardin forestier.